L’Association Francophone de Tai-Jitsu
Notre association, via ses dirigeants, a décidé de quitter la Ligue Francophone Belge des Sports d’Entreprises et de Loisirs (LFBSEL). Nous le faisons en accord avec la LFBSEL qui nous a toujours soutenu et grâce à qui notre association s’est bien développée. Alors, pourquoi la quitter. Ce ne fut pas une décision facile. Cependant, notre association se trouvait bloquée dans plusieurs domaines.
Le 1er point est que plusieurs de nos clubs étaient, et de façon logique, demandeurs d’un monitorat ADEPS pour leurs ceintures noires. La Ligue ne pouvait l’offrir car légalement, en tant que fédération multidisciplinaire, elle n’avait pas accès au monitorat.
Le 2ème point est qu’une série de clubs sont compétiteurs. La LFBSEL étant une fédération multidisciplinaire, la pratique et l’organisation de compétitions de haut niveau n’est pas autorisée.
Je m’en suis ouvert à l’équipe du Ministre, Mr Rachid Madrane. Nous avons eu une discussion ouverte, et ils m’ont confirmé qu’effectivement si nous restions au sein de la LFBSEL, nous ne pourrions jamais accéder ni au monitorat, ni aux compétitions de haut niveau. Ils m’ont donc aiguillé vers la Fédération Francophone de Ju-Jitsu (FFJJ). J’ai contacté Mr Hassan Emankaf ainsi que Mr Jean Maes, le président de la FFJJ qui m’ont rassuré quant à la pérennité de l’Association Francophone de Tai-Jitsu au sein de la FFJJ. Suite à plusieurs réunions avec les responsables des clubs de notre association, nous avons décidé de rejoindre la FFJJ.
Je remercie les dirigeants de clubs de notre association, les dirigeants de la LFBSEL ainsi que les dirigeants de la FFJJ qui nous ont accueillis.
Le président
Alain Vanderschueren